” Offrir le talent des plus grands musiciens en public et en partage avec chacun, en tous lieux. “

La famille internationale Pro Musicis

UN ENSEMBLE UNIQUE AU MONDE

Ils sont plus de 80, de 20 pays différents. Presque tous sont en activité, solistes, instrumentistes d’orchestre ou de chambre, professeurs… ou le plus souvent tout à la fois.

LAUREATS du PRIX INTERNATIONAL FRANCE 2010

Duo Guillaume LATOUR, violon, Célimène DAUDET, piano

Marion PLATERO, violoncelle

LAUREATS du PRIX INTERNATIONAL FRANCE 2009

Duo Elsa Grether, violon, et Delphine Bardin, piano,

Duo Clara Zaoui, violoncelle, et Xenia Maliarevitch, piano,

Solo: Marie Vermeulin, piano

Lauréats du Prix International USA 2008

Tanya Gabrielian, piano, MMus Diploma in 2006, Royal Academy of Music, London

Victor Goldberg, piano Peabody Institute, Doctor of Musical Arts program

Claire Huangci, piano, Hanover Hochschule fur Musik, Germany, 2007

Maya Hartman, piano, Doctor of Musical Arts 2005, Stony Brook

LAUREATS du Prix International France 2008

Duo Sirocco, composé de Raphaël Collignon, clavecin, et de Nathalie Houtman, flûte à bec

Trio Consuelo, composé de Maxime Hochart, piano, Valentine Tourdias-Becker, violon, et Olivier-Marc Becker, violoncelle

Par ordre alphabétique: les biographies

EVA-MARIA ALEXANDRE, pianiste, 1994 Prix International Pro Musicis

Lauréate de plusieurs concours et prix , Eva-Marie Alexandre est aujourd’hui reconnue comme l’une des plus grandes pianistes de sa génération. Se produisant dans les plus prestigieux festivals et théâtres d’Europe et des Etats-Unis, elle démontre, en tant que pianiste, un pouvoir de communication exceptionnel et une réelle virtuosité dramatique. Elle a reçu, entres autres distinctions, le Prix International Pro Musicis (Paris, 1994) et le Premier Prix du Concours International des Artistes Est-Ouest (New York, 1990).

D’origine franco-allemande, Alexandre a grandi à Londres, où elle donne son premier concert à l’âge de dix ans. En tant que la plus jeune étudiante au Royal College of Music, sous Phyllis Shellick, elle remporte le prix prestigieux de meilleur concertiste de l’année, ainsi que le premier prix “Jeunes Musiciens”à la Plateforme des Arts du sud-est de l’Angleterre.

En 1984, Alexandre fait ses débuts au Wigmore Hall à Londres où elle remporte un succès retentissant. Elle est, ensuite, engagée pour de nombreux récitals et concerts à travers toute l’Angleterre, notamment à Londres à la Purcell Room, St. Martins-in-the-fields et St. James Piccadilly.

Entre 1986 et 1992, Alexandre poursuit ses études aux Etats-Unis avec Byron Janis et Grant Johannesen au Mannes College of Music et à la Manhattan School of Music. Elle suit également les master-classes d’Earl Wild et Vladimir Feltsman. De retour en Angleterre, elle travaille en étroite coopération avec Fausto Zadra.

Ses récents concerts en soliste comprennent un récital de Rachmaninov au Tchaikovsky Hall de Moscou, et des récitals de Pro Musicis à l’opéra comique de Paris (complet), à la Villa Médici à Rome, et au Jordan Hall dans le Conservatoire de la Nouvelle-Angleterre à Boston. Elle a également remporté de vifs succès dans de nombreux festivals en France, en Italie, en Suisse, en Espagne et en Belgique, et a effectué de nombreux enregistrements pour la radio et la télévision allemande et italienne. Son vaste répertoire, qui s’étend à la musique de chambre, va du baroque aux œuvres du XXe siècle.Elle se rendra prochainement au Japan et Hong Kong pour une série de concerts, puis au Brésil et en Argentine.

MARIKO ANRAKU, harpiste Lauréate du Prix Pro Musicis International 1993

Ses prestations de soliste et de musicienne de chambre ont valu à Mariko Anraku d’être reconnue comme l’une des jeunes harpistes les plus brillantes au monde. Sa virtuosité, et son expression toute en grâce et élégance, enchantent les amateurs de musique du monde entier.

Elle est la lauréate de nombreux prix dont le Prix Pro Musicis International, le Premier Prix de la Guilde des Artistes de Concert, le Premier Prix du Concours International de Harpe du Japon, et le Troisième Prix du Concours International de Harpe d’Israël.Mme Anraku fit ses débuts de soliste en 1987 avec l’Orchestre Symphonique de Toronto, sous la direction de Andrew Davis, et s’est produite avec, entre autres, l’Orchestre de Musique de Chambre de Vienne, le Nouvel Orchestre Philharmonique du Japon, l’Orchestre Philharmonique d’Israël, les Concerto Soloists de Philadelphie et le Tokyo Solisten. Elle a donné des récitals dans les salles les plus célèbres de trois continents.

En tant que musicienne de chambre, elle a participé aux Festivals de Tanglewood, Spoleto et Newport aux Etats-Unis, au Festival pour les Arts de Banff au Canada, et au Festival de Musique de Takefu au Japon.Mme Ankaru est première harpe adjointe au Metropolitan Opera Orchestra

Elle détient une license et une maîtrise de la Julliard School où elle fut l’élève de Nancy Allen. Elle a également travaillé avec Judy Loman, Lanalee deKant, et sa tante Kumiko Inoue.

LYDIA ARTYMIW, pianiste, Prix International Pro Musicis 1978

Lauréate de la Bourse de Carrière Avery Fisher en 1987 et du Prix de Musique de Chambre Andrew Wolf en 1989, Lydia Artymiw, née à Philadelphie, est rapidement devenue un des talents les plus fascinants de sa génération. Elle s’est produite avec plus de cent orchestres dans le monde, sous la direction des plus prestigieux chefs d’orchestre. Aux Etat-Unis, elle a joué avec le Boston Symphony, le Cleveland Orchestra, le New York Philharmonic, le Philadelphia Orchestra, le Los Angeles Philharmonic, le National Symphony, et avec les orchestres de Cincinnati, Detroit, Pittsburgh, Kansas City, Minnesota, St. Louis, San Francisco, Seattle, et le St Paul Chamber Orchestra. Ses tournées en soliste l’ont ammenée dans toutes les grandes villes américaines, dans les capitales musicales européennes – Londres, Paris, Berlin, Milan, Rome- et en Extrême Orient. Ses sept enregistrements pour Chandos reçurent des critiques élogieuses.

Mme Artymiw s’est également produite aux festivals suivants : Aspen, Caramoor, Chamber Music Northwest, Chautauqua, Grand Canyon, Hampden-Sydney, Hollywood Bowl, Marlboro, Montreal, Mostly Mozart, Tucson, et Virginia Waterfront.

Mme Artymiw est une musicienne de chambre très appreciée et a travaillé avec de nombreux artistes renommés tels Yo-Yo Ma, Richard Stoltzman, Arnold Steinhardt, Michael Tree, Benita Valente (avec qui elle a realisé des enregistrements pour Centaur et Panthéon) et les quatuors Guarneri, Vermeer, American, Miami, Orion, et Shanghai. Elle a effectué des tournées nationales avec les groupes Music from Marlboro

Elle est membre du Trio Steinhardt-Artymiw-Eskin aux côtés de Arnold Steinhardt (premier violon du quatuor Guarneri) et de Jules Eskin (premier violoncelle du Boston Symphony).

Mme Artymiw a remporté de nombreux prix, dont le Leventritt en 1976, et le Concours International de Leeds ainsi que le Prix International Pro Musicis en 1978. Elle est diplomée de l’Université des Arts de Philadelphie et fut pendant 12 ans l’élève de Gary Graffman. Son mari est le musicologue David Grayson. En 1989, tout deux devinrent membres du corps professoral de l’Université du Minnesota. En 2000, Mme Artymiw reçut la “Dean’s Medal” de l’Université du Minnesota et en 2001, fut la première musicienne à se voir attribuer le “McKnight Distinguished Professorship” par cette même université. Elle a récemment participé à la première tournée nationale du Trio Steinhardt-Artymiw-Eskin et s’est produite avec l’American Quartet de Philadelphie, le quatuor Guarneri au Metropolitan Museum de New York et le Shanghai Quartet en Virginie.

MARIA BACHMANN, violoniste, Prix Pro Musicis International 1989

“Violoniste de l’âme et du raffinement patricien”, ce sont les mots choisis par le New York Times pour dépeindre Maria Bachmann, artiste de renommée internationale, réputée pour ses enregistrements et ses concerts. Musical America et New York Newsday l’ont nommée “Artiste Exceptionnelle de l’Année”. Mirabella, Time Magazine, CD Review et New York Newsday reconnaissent en elle l’une des plus grandes artistes de sa génération. Elle a remporté de nombreux concours dont le premier prix au concours Fritz Kreisler de Vienne, le Concert Artists Guild Competition à New York, le prix Pro Musicis International et le Palm Beach International Competition.

Maria Bachmann s’est produite en soliste ou en récital avec les plus grands orchestres du monde. On a pu l’applaudir à New York, Tokyo, Londres, Toronto, Los Angeles, Chicago, Philadelphia, Atlanta, San Francisco. Elle fit des débuts très remarqués avec le Saint Louis Symphony Orchestra sous la direction de Leonard Slatkin, le National Symphony au Kennedy Center et le Pacific Symphony sous la direction de Marin Alsop.

En automne 2001, elle a interprété Le Violon Rouge de John Corigliano au Chicago Humanities Festival et en Indiana, avec le Richmond Symphony.

Mme Bachmann est une ambassadrice célèbre de la musique contemporaine; les critiques font les éloges de son approche romantique et profondément personnalisée du répertoire moderne. Les compositeurs américains les plus réputés ont écrit pour elle : George Rochberg, Leon Kirchner, Paul Moravec, Sebastien Currier. D’origine hongroise,

Mme Bachmann se distingue par son interprétation de Bela Bartok et a recréé, à l’invitation de la Bibliothèque du Congrès, le récital légendaire Szigeti/Bartok de 1940, concert qui fut diffusé à l’échelon national.

Son enregistrement sur BMG/Conifer des Concertos pour Violon de Beethoven et Mendelssohn avec le Royal Liverpool Philharmonic sous la direction de Libor Pesek reçut des critiques dithyrambiques. D’après le magazine Gramophone “L’exécution de Mme Bachmann allie la puissance à un timbre doux et une technique impeccable.”

Mme Bachmann a également réalisé des enregistrements chez Argo, Koch, CRI, et Connoisseur Society.. Mme Bachmann excelle dans la musique de chambre et a été invitée à se produire aux côtés de la Chamber Music Society du Lincoln Center, les American Chamber Players, et a participé à de nombreux festivals tels Caramoor, Norfolk, Moab Chamber Festival et Chamber Music Northwest. Elle est le premier violon du Lark Quartet et fait partie du Trio Solisti. Mme Blackmann est le directeur artistique des six concerts du Trio Solisti présentés chaque année par la Morgan Library à New York. Elle est aussi le directeur artistique de Telluride MusicFest, à Telluride dans le Colorado.

Maria Bachmann joue sur un violon realisé en 1986 par le fabricant Sergio Peresson. Elle fit ses études au Curtis Institute of Music sous la tutelle de Ivan Galamian et Szymon Goldberg. Mme Bachmann enseigne à l’AdelphiUniversity à Garden City, New York.

JIAN BAO, guanzi, Prix Pro Musicis International 1998

Jian Bao est un joueur de guanzi exceptionnel dont les nombreux concerts en soliste et musicien de chambre sont très remarqués. Le guanzi est un ancient instrument populaire chinois constitué d’un tube de roseau et d’une double anche en paille. La virtuosité de M. Bao enchante les spectateurs du monde entier. Le Berlin Daily Post applaudit “la pureté sanctifiée de sa musique orientale”.

M. Bao a remporté un nombre impressionnant de prix dont le Prix Pro Musicis International de New York en 1998 et le premier prix au International Chinese Ethnic Intrumental Competition de Beijing en 1995. Ses vastes connaissances de la musique populaire et classique chinoise en font un grand créateur d’oeuvres contemporaines.

Son enregistrement de la “Chanson de Yangguan” fut selectionné par l’UNESCO et publié partout dans le monde. Son interprétation du Concerto de Lin Li avec l’Orchestre Philharmonique de Hong Kong hissa le guanzi à un niveau exceptionnel.

Il donna la première de “Extend” de Lei Liang aux côtés du saxophoniste Ken Radnofsky au New England Conservatory’s Spring Music Festival au Jordan Hall.

M. Bao se produit régulièrement sur trois continents et participe à de nombreux festivals dont le Festival of Asian Arts a Hong Kong et le Festival der Weltkulturen à Berlin.

M. Bao est diplômé du Conservatoire Central de Musique de Beijing où il enseigne depuis 1986. Son nom figure sur la liste des “Célébrités Chinoises dans le Monde de la Littérature et des Arts”

KAROL BENNETT, soprano, Prix Pro Musicis International 1993

La soprano Karol Bennett est une brillante interprète de Lied, d’oratorio, d’opéra et de nouvelle musique. Le New York Times salue “sa voix somptueuse, sa violence déchirante et un talent de musicienne hors pair”, le Los Angeles Times souligne “une profondeur résonnante, un son scintillant et une fluidité onctueuse”, le Boston Globe vante “ses tonalités enchanteresses et le feu de son imagination”. Elle a remporté le Prix Pro Musicis International, un Artistic Ambassadorship, une bourse du Bunting Institute of Radcliffe College et une Duo Recitalists Grant du National Endowment for the Arts.

Son enregistrement des oeuvres de Earl Kim avec le Metamorphosen Chamber Orchestra fut subventionné par le Aaron Copland Fund for Music. L’album fut publié par New World Records et figura sur la liste ‘Critics’ Choices : Classical Music, 2001” du New York Times; le magazine Boston Globe remarqua “l’autorité de son exécution”.

Mme Bennett brille par sa polyvalence, et par la perspicacité de ses interprétations d’un répertoire allant du Baroque aux oeuvres contemporaines, ces dernières étant pour la plupart écrites pour elle. Elle s’est produite en soliste aux côtés de maints ensembles tels le Boston Cecilia, la Boston Masteworks Chorale, le Boston Misica Viva, Collage,

Da Camera de Houston, Emmanuel Music, le Flux Quartet, le Metamorphosen Chamber Orchestra, le Mendelssohn String Quartet, le New York New Music Ensemble,

Orchestra X, le Quarteto Latino-Americano, le St Paul Chamber Orchestra, le San Francisco Contemporary Music Players, le Sinfonietta Krakovia et le Sverdlovsk Philharmonic Orchestra de Russie.

Elle a travaillé avec de nombreux chefs d’orchestre dont John Axelrod, Peter Bay, Sarah Caldwell, John Harbison, Edith Ho, David Hoose, Allen Lannom, Richard Pittman, Gunther Schuller, Craig Smith, Donald Teeters, Pascal Verrot, et Scott Yoo. Son récital à l’Opéra Comique de Paris fut retransmis à la télévision. Elle a donné des récitals en France, à Rome, à Moscou, en Extrême Orient, à Mexico et dans l’ensemble des Etats-Unis. Mme Bennett collabore périodiquement avec le Round Top International Festival-Institute, elle fut invitée à participer au Marlboro Music Festival, et est Artiste en Résidence au Festival International de Musique de Morelia au Mexique.
Son enregistrement de “Flora” de Tod Machover devint le “New Music Recording of the Year : 1992” du Boston Globe. Gramophone qualifia son interprétation de “From Silence” de Jonathan Harvey de “admirablement adroite et assurée, prodigieusement convaincante”. Elle a enregistré un ensemble d’oeuvres de musique sacrée du vingtième siècle avec le Boston Cecilia chez Newport Classics, “Simple Daylight” de John Harbison chez Archetypes Records et “Song of Penance” de Tod Machover chez Oxingdale Records.

SONIA CHAN, pianiste Prix Pro Musicis International 2002

Née à Toronto en 1980, Sonia Chan est une pianiste exceptionnelle dont le talent a été couronné par de nombreux prix. Elle se produit régulièrement en Amérique du Nord et a donné des concerts en soliste avec le Toronto Symphony Orchestra, l’Aspen Symphonia, la Canadian Chamber Academy, le Kitchener-Waterloo Symphony Orchestra, le Brantford Symphony Orchestra, et le Santa Rosa Symphony Orchestra en Californie.

Mlle Chan a eu l’honneur de jouer pour Sa Majesté La Reine et a été invitée à donner des récitals au Bennett Gordon Hall de Chicago, au Gardner Museum de Boston, au San Luis Obispo’s Mozart Festival en Californie, au Bergen Music Festival en Hollande, au Chopin Festival d’El Paso, au Santa Rosa Recital Series en Californie, au Aspen Music Festival dans le Colorado, et à la Rockefeller University à New York. Plus récemment, Mlle Chan a fait ses débuts de soliste au Jordan Hall de Boston et au Weill Recital Hall de Carnegie Hall.

Mlle Chan a participé à plusieurs programmes de radio et de télévision au Canada et aux Etats-Unis, et la télévision canadienne a réalisé un documentaire relatant sa carrière musicale. Son récital devant quelque 15 000 délégués de 89 pays pendant la cérémonie d’ouverture de la Conférence Internationale sur le SIDA de 1996 à Vancouver fut retransmis par la télévision nationale canadienne.

Ms Chan a remporté le Prix Pro Musicis International, le National Canada YTV Youth Achievement Award, la bourse du A&E Television Network et le premier et le grand prix du Canadian Music Competition. Elle a gagné le Toronto Symphony Orchestra Piano Competition, le Aspen Music Festival Piano Concerto Competition, et le prestigieux Prix Sylvia Gelber 2003 décerné par le Canada Council for the Arts. Cette distinction récompense le talent prodigieux d’un jeune artiste canadien de moins de trente ans.

A cinq ans, Mlle Chan commença ses études au Royal Conservatory of Music dont elle sortit diplômée avec distinction à l’âge de douze ans. Elle poursuivit sa formation à la Glenn Gould Professional School à Toronto jusqu’à 16 ans.

De 1996 a 2000, Mlle Chan reçut une bourse qui lui permit d’étudier au Curtis Institute of Music de Philadelphie sous la tutelle du pianiste Leon Fleischer et d’obtenir sa Licence en Musique avec mention très bien. C’est à Boston, au New England Conservatory of Music, qu’elle termine sa Maîtrise en 2002, première de classe et figurant sur la “Dean’s list” pour ses accomplissements académiques et artistiques.

Aujourd’hui, une bourse obtenue dans le cadre du prestigieux Artist Diploma Program permet à Ms Chan de se perfectionner au New England Conservatory of Music, auprès du pianiste et artiste en résidence, Russell Sherman

DOREEN DE FEIS, soprano, Prix Pro Musicis International 1990

La soprano américaine Doreen De Feis commença sa carrière de chanteuse d’opéra aux Etats-Unis avec le Glimmerglass Opera, le Chautauqua Opera, le Wolf Trap Opera et le St Lukes Chamber Orchestra. Sa carrière européenne démarra en 1986 lorsqu’elle connut un succès retentissant, en tant que membre d’un ensemble, dans les rôles de Susanna, Pamina, Norina, et Zerbinetta à Kaiserslautern, Saarbrucken et Munster. Sous la direction de Stefan Soltesz à Braunschweig, elle fit ses debuts dans le rôle de Sophie dans le Cavalier à la Rose et ajouta les rôles de Gilda, Nanetta, Marcellina, Adina et Rosina à son répertoire. D’autres engagements en Allemagne et en Europe suivirent : Bremen, Bonn, Odelburg, Kassel, Trier, et Madrid au Teatro Lirico Nacional la Zarzuela, Gand, et Anvers au Opera voor Vlaanderen.

Mme De Feis s’est récemment lancée dans le répertoire lyrique en interprétant les rôles de Violetta dans La Traviata, Mimi dans La Bohème et Micaela dans Carmen. Elle a donné des concerts en soliste à travers l’Europe. Son répertoire s’étend aux oeuvres de Bach, Mahler, Mozart et Strauss ainsi qu’à des compositeurs contemporains comme Rudolf Kelterborn, Rainer Kunad et Michael Denhoff. Elle s’est produite avec des orchestres internationaux tels le Halle Orchestra de Manchester, le Radio Orchestra de Madrid, l’Orchestre National de Belgique et le Dutch National Ballet Orchestra à Amsterdam.

En 1996, elle a réalisé son premier disque chez Arte Nova en enregistrant la 3ème Symphonie de Henryk Gorecki avec le Orquestra Filarmonica de Gran Canaria.

Sa discographie comprend deux autres CD : Rigoletto de Verdi et son solo dans Lieder de Shubert. Janvier 2001 vit la sortie du CD de la Messa di Gloria de Rossini avec le European Festival Orchestra sous la direction de Wilhelm Keitel. Mme De Feis prépare actuellement un autre CD chez Arte Nova, un solo et orchestre.

Mme De Feis fit ses études à la Eastman School of Music et à la Julliard School à New York. Le Prix Pro Musicis International lui permit de faire une tournée internationale avec des concerts à San Francisco, Boston, Los Angeles, New York, Rome (Villa Medici) et Paris (Opera Comique). Elle fut finaliste du Metropolitan Opera Regional Competition de New York

NATALIE DESSAY, Soprano, Prix International Pro Musicis 1990

La soprano colorature Française Natalie Dessay a conquis les plus prestigieuses scènes du monde avec sa voie éblouissante et son exceptionnel talent d’artiste dramatique dans les opéras de Mozart, Bellini et Richard Strauss, et dans d’autres rôles français classiques, tels que Lakmé, Olympe et Ophélie, tant en récital qu’en concert.

Après avoir remporté le Prix International Pro Musicis et le Concours Mozart de Vienne en 1990, Natalie Dessay est immédiatement invitée à se produire à l’Opéra de Vienne, où elle reviendra souvent dans les grands rôles de Mozart et de Strauss, dont elle est devenue la principale interprète. Elle fait ses autres débuts dans le répertoire français, notamment l’Olympe d’Offenbach, qui lui vaut un succès retentissant à l’Opéra de Paris. Elle sera ensuite applaudie à New York, Chicago et Milan, ainsi que sur les scènes françaises, apportant à ses rôles une vocalisation magistrale et une expression théâtrale exceptionnelle.

Natalie Dessay fait ses débuts au Metropolitan Opera en 1994 comme Fiakermilli dans Arabella, et y revient comme Zerbinetta dans Ariane à Naxos, puis Olympe, sous les acclamations à la fois des critiques et du grand public. Elle interprète à nouveau Zerbinetta au Metropolitan au printemps 2003, puis Ophélie dans Hamlet au Royal Opera House à Covent Garden. Ses engagements d’été comprennent des concerts à Paris et à l’Opéra de Santa Fé. En septembre 2003, elle débute dans Hamlet au théâtre del Liceu à Barcelone, avant de revenir à Paris pour interpréter Ariane à Naxos à la Bastille.

Plus récemment, Mme Dessay a fait ses début au Lyric Opera de Chicago comme Morgana dans Alcina de Handel, une production de Robert Carsonis originalement mise en scène pour la Bastille; comme Amina dans La Somnambule de Bellini à La Scala de Milan. Elle se produit fréquemment en Europe, interprétant Olympe à Vienne et à l’Opéra de la Bastille à Paris, Aminta dans La Femme silencieuse et Zerbinetta à Vienne, ainsi qu’au festival de Strasbourg, sa première Ophélie à Toulouse dans un Hamlet d’Ambrose Thomasi et plus tard, au Châtelet à Paris avec Thomas Hampson dans le rôle principal.

Elle a enregistré Lakmé, l’Orphée aux Enfers d’Offenbach, Le Rossignol de Stravinsky, Carmina Burana d’Orff, Lucia de Lammermoor de Donizetti, ainsi que deux disques de récitals où elle interprète des airs de Mozart et des airs français (Emi). On la retrouve aussi dans Mithridate de Mozart (Decca), Les Contes d’Hoffmann et La Flûte enchantée (Erato), ainsi dans l’enregistrement par EMI du Gala du Festival de Glyndebourne où elle chante « Glitter and Be Gay” de Leonard Bernstein.

Mme Dessay vit à Paris avec son mari Laurent Naouri et leurs deux enfants

ROBERT DICK, flûtiste, Prix Pro Musicis International 1983

Robert Dick est un virtuose créateur dans la pure tradition de Paganini et Hendrix. Il est connu dans le monde entier comme improvisateur, compositeur, auteur, professeur et inventeur. Il a redéfini la flûte et révolutionné son rôle musical parallèlement aux règles traditionnelles. Il trouve son inspiration dans l’improvisation libre, la musique d’art classique contemporaine -américaine et européenne-, le Blues, la musique indienne et d’ailleurs, la musique classique occidentale, la musique électronique, le rock, le jazz.

Son principe de base est que tout instrument peut jouer n’importe quel rôle musical, indépendamment de la pensée conventionnelle. Pour M. Dick, l’imagination et la capacité humaine sont sans limite.

Originaire de New York City, il a étudié la flûte avec Henry Zlotnik, James Pappoutsakis, Julius Baker et Thomas Nyfenger. Il est diplômé de Yale et détient un M.M. en composition de la Yale School of Music où il travailla avec Robert Morris, Jacob Druckman et Bulant Arel. Il remporta le Prix Pro Musicis International en 1983 et le Guggenheim Fellowship en 1993.

M. Dick est revenu à New York City après 10 ans passés en Suisse et un an comme professeur externe à l’Universite de Iowa. Il est membre de la faculté de musique à l’Université de New York.

La discographie de M. Dick comprend plus de vingt CD de solos originaux écrits par d’autres compositeurs/interprètes faisant partie du A.D.D. Trio (avec le guitariste Christy Doran et le batteur Steve Arguelles) et du groupe King Chubby (avec Ed Bialek, échantillonnage et claviers, et Will Ryan, instruments fabriqués à la main et percussions).

Il a également enregistré des oeuvres de Telemann (les “Fantaisies” pour flûte) et de Jimi Hendrix. Il prépare actuellement le CD “Columns of Air” en duo avec son compositeur, Jaron Lanier.

M. Dick est l’auteur d’un livre pour le flûtiste et compositeur contemporain. Ses ouvrages, dont “L’autre flûte: un manuel de techniques contemporaines, de développement de la tonalité via des techniques d’extension et de respiration circulaire pour le flûtiste” servent de référence dans le domaine. Il publie ses compositions et les enregistrements audios et vidéos destinés à l’enseignement via sa propre maison d’édition “Multiple Breath Music”.

La compagnie Emerson fabrique la flûte basse “modèle Robert Dick”. Ce dernier est en train de développer un “Glissando Headjoint” avec Bickford Brannen ou Brannen Brothers Flutemakers. Le “ Glissando Headjoint” est une flûte dont l’embouchure très large en multiplie les possibilités d’expression et en fait pratiquement un nouvel instrument.

KATERINA ENGLICHOVA, harpiste, Prix Pro Musicis International 1995

La harpiste Katerina Englichova, diplômée du Curtis Institute de Philadelphie et lauréate du Prix Pro Musicis International, fit ses études au Conservatoire de Prague sous Libuse Vachalova. Une bourse Fulbright lui permit d’étudier au Curtis Institute de 1989 à 1994 auprès de Marilyn Costello. Elle suivit des “master class” avec les harpistes les plus célèbres telles Marielle Nordmann en France, et Helga Storck en Allemagne.

Mme Englichova a donné des concerts en soliste avec de nombreux orchestres, dans son pays et à l’étranger : le Philadelphia Orchestra, le Suk Chamber Orchestra, le San Francisco Chamber Orchestra, les Concerto Soloists of Philadelphia, etc. L’année prochaine elle se produira avec, entre autres, le Prague Philarmonia, le Moravian Philharmonic de Olomouc et le Janacek Philharmonic d’Ostrava. Ses concerts en musicienne de chambre la voient aux côtés du violoniste virtuose Josef Suk, le premier alto du New York Philharmonique, Cynthia Phelps, Gérard Caussé, les flûtistes Eugenia Zukerman, Robert Stallman, Jan Machat, le Prazak String Quartet et le Martinu Quartet.

Elle a remporté les concours internationaux les plus prestigieux et fut la lauréate, en 2000, du Prize of the Chamber Music Society du Czech Philharmonic Orchestra. En tant que soliste, elle participe régulièrement à des festivals internationaux dont le Prague Spring; Music by the Red Sea en Israel; Pacific Music Festival au Japon; Tanglewood Music Festival aux USA; les Rencontres Musicales d’Evian en France.

Elle réalise des enregistrements pour la Radio et Télévision tchèques et sa discographie compte plusieurs disques dont un solo des oeuvres de Ravel et de Debussy, le CD commémorant le 70ème anniversaire de Petr Eben, les Sonates Rossler-Rossetti chez Supraphon, des morceaux de musique de chambre composés par Florent Schmidtt chez Harmonia Mundi, de la musique de chambre pour harpe par Caplet, Salzedo, Kapr, et un nouveau CD de compositions pour flûte et harpe de Rota, Faure, Godard, Rossini, Satie et Hesse.

En 2003, lors du Spring Chamber Music Festival aux USA, Mme Englichova donna la première de Mysterium Druidum, écrit pour elle et le Prazak Quartet par le compositeur tchèque Sylvie Borodova. Elle a enseigné à l’Université d’Arizona et interprètera cette nouvelle composition fin d’année avec le Wihan Quartet, le Kapralova Quartet, le Karlsbad Symphony Orchestra et le Zlin Philharmonic Orchestra. En 2004, elle est invitée à se produire au Japon, en Nouvelle-Zélande et au Canada.

MICHAEL FAUST, flûtiste, Prix Pro Musicis International 1986

Michael Faust commença ses études de flûte dans sa ville natale, Cologne en Allemagne, aux côtés de Cäcilie Lamerichs. Il se rendit à Hambourg où il fut l’élève de Karlheinz Zöller, première flûte du Berlin Philharmonic, et travailla avec Aurèle Nicolet à Bâle en Suisse. M. Faust a remporté de nombreux prix nationaux et internationaux et fut le premier allemand à se voir attribuer le prestigieux Prix Pro Musicis à New York.

Il a donné des concerts en soliste à travers l’Europe, l’Amérique du Nord et du Sud, l’Afrique et le Japon. Le chef d’orchestre Lorin Maazel vante “sa sonorité radieuse et la précision de sa musicalité”. Le chef d’orchestre Gunther Schuller a écrit “Il est rare de rencontrer un artiste avec une telle pureté de son, autant d’expression et de virtuosité technique. C’est un réel plaisir de l’entendre jouer.”

Sa carrière de musicien d’orchestre débuta à Rome où il devint la flûte solo de l’Orchestra di Santa Cecilia. Il occupa la même position au Hamburg Philharmonic Orchestra et au Munich Philharmonic Orchestra sous la direction de Sergiu Celibidache. Depuis 1988, il est la flûte solo du WDR Sinfonieorchester de Cologne.

Michael Faust se consacre également à la pédagogie et a donné plusieurs “master-class” en Europe, en Afrique du Sud, au Japon et aux Etats-Unis. Il est Professeur au Musikhochschule de Dusseldorf. Il a longtemps enseigné à la European Mozart Foundation à Prague et Varsovie.

La saison dernière, Michael a donné une série de concerts de musique de chambre avec le Ensemble Contrasts Köln, le Heinrich Schiffs Winterthurer Musikkollegiumsorchester (Reinecke), le Neubrandenburger Philharmoniken (Rautavaara), et le WDR- Sinfonieorchester Cologne (Bernstein) sous la direction de Carl St. Clair.

Ses enregistrements sur CD témoignent d’un répertoire très varié. Chez GM Recordings, il a réalisé une série de trois disques avec le claveciniste Ilton Wjuniski, interprétant des oeuvres allant de Bach à Mozart, ainsi qu’un enregistrement des Sonates de Franck et de Prokofjev.

Michael Faust, en collaboration avec le Ensemble Contrasts Köln, s’intéresse au répertoire de nouvelle musique. Avec le WDR- Sinfonieorchester Cologne sous la direction de Serge Baudo et Alun Francis, il a enregistré les concertos pour flûte et orchestre de J. Ibert, C. Nielsen et L. Bernstein.

ROBERT GARDNER, baryton, Prix Pro Musicis International 2001

Spectateurs et critiques s’accordent à dire que “la voix du baryton Robert Gardner, s’élevant des profondeurs de la basse jusqu’au registre lyrique angélique, est un instrument d’une puissance et d’une beauté naturelle prodigieuses.” James Ostreich du New York Times écrit “que ce soit son chant éblouissant et plein de caractère, élégant et majestueux, ou encore ses performances éclatantes de sensibilité, Robert Gardner est un artiste au talent incomparable dont les capacités vocales semblent infinies.”

“La richesse et l’onctuosité de ses intonations graves ainsi que la maîtrise parfaite de sa technique semblent le destiner à une carrière internationale.” “La musique fait sûrement partie de son capital génétique.”

Originaire du Colorado, Mr Gardner fit ses premiers pas musicaux dans une famille de quinze musiciens. Son stage au Santa Fe Opera lui permit de poursuivre sa formation vocale auprès de Doris et Richard Cross et Sherrill Milnes à l’Université de Yale. En 2001, il gagna le Prix Pro Musicis International; en 2000, il remporta le Denver Lyric Opera Competition et le Prix Gerda Lissner; en 1999, il reçut le Prix de la Fondation William Matheus Sullivan.

Mr Gardner se produit aux Etats-Unis et à l’étranger avec des orchestres symphoniques comme le Munich Philharmonic, le Taejun Symphony en Corée, et à Hartford, New Haven, San Diego, Santa Rosa, Denver, et avec des ensembles comme le National Chorale. Il a chanté des grands rôles d’opéra pour le Bavarian National Opera de Munich, et pour les companies de Santa Fe, de Washington D.C., de Raleigh, de Sanibel, d’Edmonton, d’ Opera Colorado, et de Spoleto Festival USA.

La saison dernière fut marquée par de nombreux concerts aux Etats-Unis et notamment au Avery Fisher Hall du Lincoln Center où Mr Gardner interpréta Carmina Burana de Orff, Harmoniemesse de Haydn, la 9ème Symphonie de Beethoven, Thamos, Roi d’Egypte et la Messe en do mineur de Mozart, le Messie de Handel, la Messe en si mineur et le Magnificat de Bach. Il travaille depuis huit ans avec la pianiste Lydia Brown et tout deux firent leurs débuts lors de récitals au Weill Hall de Carnegie Hall à New York, au Pickman Hall de Boston et à l’Augustana Lutheran Church de Denver en association avec la Fondation Pro Musicis Internationale.

Mr Gardner vient d’interpréter Ein Deutsches Requiem de Brahms avec le Dallas Symphony. Il passera l’été 2003 avec le Santa Fe Opera et la saison 2003/04 au Bavarian National Opera à Munich, où il réside

RACHEL FRANKLIN, pianiste, Prix Pro Musicis International 1992

Lauréate du Prix Pro Musicis International, la pianiste britannique Rachel Franklin fit ses débuts de soliste au Carnegie Recital Hall à New York et au Jordan Hall de Boston.

Le Boston Globe admire “sa différentiation magnifique des couleurs, du toucher et de la texture” et qualifie son premier CD solo de “comparable…aux enregistrements de Cortot et Rubinstein”. Elle a également donné des concerts Pro Musicis en soliste à Paris et à Rome.

Lors de ses récitals au Wigmore Hall de Londres, les critiques ont acclamé sa “stupéfiante individualité”, son “contrôle dynamique exquis”, “sa puissance étonnante et technique inébranlable”. Le Washington Post salue “l’aisance de sa bravoure et de son panache”. Elle a été l’invitée de Performance Today sur NPR et ses récitals ont été retransmis sur BBC Radio 3, WQXR et WNYC à New York, WJHU à Baltimore et Radio Telefis Eireann en Irlande. Elle a donné des concerts en soliste et avec orchestre à travers l’Europe, le Canada et les Etats-Unis. Elle a réalisé des enregistrements chez Sony Vox avec le violoniste Sergiu Schwartz, et chez Sonoris avec le violoniste Phillip Levy.

Elle a remporté de nombreux concours dont le Florence International Chamber Music Competition et le Louise B. McMahon International Music Competition.

Rachel Franklin a étudié le piano à la Yehudi Menuhin School sous Vlado Perlemuter et Louis Kentner, se produisant au Queen Elizabeth Hall de Londres et au Menuhin Festival de Gstaad. Elle poursuivit ses études au Royal College of Music.

En 1995, elle obtint son Doctorate of Musical Arts avec Irina Zaritskaya à la Rubin Academy of Music de l’Université de Tel Aviv, où elle remporta le premier prix du concours de piano et termina sa formation avec la plus grande distinction.

Elle a également participé à des “master-class” données par des artistes comme Joseph Kalichstein, Andras Schiff et Menachem Pressler.

Pianiste de jazz accomplie, Rachel Franklin s’est produite avec de nombreux ensembles de jazz, et en solo sur BBC3 Radio 3. Elle est un professeur et orateur très apprecié et fait partie du corps professoral de l’Université du Maryland dans le comté de Baltimore, et du Peabody Conservatory of Music. Elle donne des cours et des conférences pour de nombreuses organisations dont le Baltimore Symphony Orchestra, le Baltimore Chamber Orchestra et le Smithsonian Associate Program.

Mme Franklin a créé un nouvel ensemble de jazz et musique classique, SONOS, qui débutera cette année au prestigieux Strathmore Hall Arts Center dans le Maryland.

CHRISTIAN GERHAHER, baryton, Prix Pro Musicis International 1998

Le baryton allemand Christian Gerhaher est né à Straubing en 1969. Il étudia le chant avec Paul Kuen et Raimund Grumbach, la philosophie et la médecine à Munich et à Rome, et est détenteur d’un doctorat en médecine. Il poursuivit ses études de chant à l’Opera School du Hochschule fur Musik de Munich. Il travaille régulièrement avec le pianiste Gerold Huber et tout deux participèrent à des “master-class” avec Dietrich Fischer-Dieskau, Elisabeth Schwarzkopf et Inge Borkh. Son enregistrement de Winterreise avec Gerold Huber remporta le prix Echo Klassik 2002.

En 1998, il fut le lauréat du Prix Pro Musicis International à Paris/New York. Subséquemment, il fit ses débuts dans la salle de concert de musique de chambre du Carnegie Hall à New York et au Schubertiade Feldkirch. Suite à ses débuts au Wigmore Hall de Londres, il interpréta Schwanengesang à la Schubertiade de Vilabertran. Ses concerts en soliste au même Wigmore Hall et au Philharmonie Cologne furent très remarqués. M. Gerhaher s’est ensuite produit à l’Alter Oper de Frankfort, au Concertgebouw d’Amsterdam, au Schwetzingen Festival, à la Frick Collection à New York et au Musée d’Orsay à Paris.

Son concert avec le Vienna Philharmonic sous la direction de Helmuth Rilling fut rapidement suivi par des débuts avec le Los Angeles Philharmonic Orchestra où il interpréta des arias de La Passion selon St Mathieu de Bach. A l’invitation de Philippe Herreweghe, M. Gerhaher retournera prochainement à Anvers pour chanter Elias. En octobre 2003, il se produira avec l’Orchestre Symphonique du Bayerische Rundfunk sous la direction de Riccardo Muti, et interprètera le War Requiem de Britten avec le Berlin Philharmonic en novembre 2003. En 2004 et 2005, il participera à des concerts avec le Berlin Philharmonic sous la direction de Nikolaus Harnoncourt.

Christian Gerhaher s’est produit au Stadttheater Wurzburg, au Festspielhaus de Baden-Baden et a chanté le rôle de Papageno dans Zauberflöte de Mozart au Gartnerplatztheater de Munich. En 2001, il donna de nombreux concerts et réalisa un enregistrement de Freischutz de Weber (Deutsche Harmonia Mundi) avec le Capella Coloniensis (WDR) sous la direction de Bruno Weil.

Chez Arte Nova, Christian Gerhaher et Gerold Huber ont enregistré Schwanengesang et autres chansons, et Winterreise. D’après le magazine allemand Fono Forum, ce disque est “l’un des meilleurs enregistrements disponibles actuellement”. Le duo prépare la sortie d’un nouveau CD, une compilation de chansons de Schubert dont Die Schöne Mullerin, Vier ernste Gesänge de Brahms et Jerdermann-Monologue de Frank Martin.

RICHARD GLAZIER, pianiste-narrateur, Prix Pro Musicis International 1994

Richard Glazier fit ses études de piano à la Indiana University School of Music et obtint son Doctorat en Arts Musicaux au Cleveland Institute of Music. Il a remporté, entre autres distinctions, le Prix Pro Musicis International, le Grand Prix du National Federation of Music Clubs Young Artist Competition, et la bourse du Deutscher Akademischer Austaushdienst (DAAD), la plus haute récompense académique octroyée par le gouvernement allemand. Une bourse du Indiana Arts Commission est venue couronner ses performances artistiques.

Il s’est produit en soliste ou récitaliste avec les plus grands orchestres américains et européens. Ses débuts au Weill Recital Hall du Carnegie Hall, au Jordan Hall de Boston et au Bing Theater de Los Angeles furent très remarqués, ainsi que ses concerts des oeuvres de Gershwin à la New York Public Library for the Performing Arts, au Cleveland Institute of Music et au Chautauqua Institution. En 1995, lors du gala célébrant le 30ème anniversaire de Pro Musicis au Alice Tully Hall du Lincoln Center, il interpréta une oeuvre pour piano à quatre mains avec le pianiste Byron Janis.

M. Glazier vient de participer à la série de concerts “Michael Feinstein and Friends” au Carnegie Hall.

Bien que de formation classique, M. Glazier voue un intérêt particulier à la chanson populaire américaine. Enfant, il aimait la Rhapsodie en Bleu de George Gershwin. Son enthousiasme l’amena à correspondre avec Ira Gershwin, et le parolier l’invita chez lui à Berverly Hills. M. Glazier eut l’honneur de jouer sur le piano personnel de George Gershwin.

M. Glazier a participé à de nombreux programmes télévisés sur des chaînes locales et nationales, et apparaît régulièrement sur la chaîne satellite CLASSICARTS. Il est souvent l’invité de l’émission “Performance Today” sur NPR. Chez Centaur Label, il a réalisé deux enregistrements des oeuvres de Gershwin, “Gershwin, Remembrance and Discovery” Volumes 1 et 2. Lors du centenaire de la naissance du compositeur en 1998, c’est lui qui fut choisi pour enregistrer un disque entièrement consacré aux oeuvres de Gershwin dans la collection “Artist Series” chez PianoDisc. Il vient d’achever le premier volume des oeuvres de Scott Joplin chez Centaur Records, et son dernier disque, ‘A Salute to the Hollywood Musical”, sortira bientôt. M. Glazier est un artiste Steinway.

STEPHANIE JUTT, flûtiste, Prix Pro Musicis International 1978

Présence, finesse artistique et énergie irrésistible caractérisent l’oeuvre de la flûtiste Stephanie Jutt dès ses débuts très remarqués à New York, où elle remporta le premier prix du International Concert Artist Guild Awards. Lauréate du Prix Pro Musicis International, elle a donné des concerts dans le monde entier, et notamment à Paris, Fribourg, Rome, Munich, Lisbonne, Bergen, Hong Kong, Los Angeles, Washington D.C., Boston, San Francisco et New York. Premier prix du New York Affiliate Artists Competition, elle a été en résidence à l’Université de Pennsylvanie, à l’Université de Dayton, et dans un grand nombre de villes américaines.

Mme Jutt s’est vu attribuer les bourses du National Endowment for the Arts et du Martha Baird Rockefeller Fund for Music. Elle a participé aux concerts de nouvelle musique “Prospective Encounters” présentés par le New York Philharmonic, en collaboration avec la Chamber Music Society du Lincoln Center et le 92nd Street Y Orchestra. Elle s’est produite avec plusieurs orchestres américains dont le Boston Pops et le Brevard Festival Orchestra.

Mme Jutt est un grand amateur de musique nouvelle et a donné la première représentation du Concerto pour Flûte de Gunther Schuller à Madison. Elle interpréta le Concerto pour Flûte de Rouse avec le Madison Symphony en 1997. En août 2001, Mme Jutt créa le Concerto pour Flûte de David Maslanka à la conférence annuelle de la National Flute Association, à Dallas, Texas.

En tant que membre du New England Ragtime Ensemble de Gunther Schuller, elle a effectué des tournées à travers l’Europe, les Etats-Unis, l’ancienne URSS, et a réalisé des enregistrements chez Angel, Golden Crest et GM. Elle a également créé un spectacle, PRIVATE LESSONS, qui allie morceaux de musique et monologues autobiographiques.

Depuis 1990, Mme Jutt est professeur de flûte à la faculté de musique de l’Université du Wisconsin, à Madison, Wisconsin. Elle est première flûte au Madison Symphony, et fait partie du Wingra Woodwind Quintet. Elle fit ses études au New England Conservatory sous la tutelle de Paula Robinson et James Pappoutsakis.

Mme Jutt et le pianiste Jeffrey Sykes sont les co-directeurs du Bach Dancing and Dynamite Society, un groupe qui organize, entre autres, un festival innovateur de musique de chambre dans le Wisconsin. Ce festival a lieu tous les étés et fêta sa onzième saison en 2002. Deux concerts du Bach Dancing and Dynamite Society enregistrés en public sont disponibles sur disques compacts.

Stephanie Jutt est membre du conseil national de la National Flute Association dont elle présidera le congrès annuel à Nashville en août 2004.

STEVEN KANOFF, clarinettiste Prix Pro Musicis International 1980

Né en Californie, Steven Kanoff révéla très tôt ses talents de clarinettiste en remportant, à l’âge de 14 ans, le Young People’s Concert Competition sous la direction de Leonard Bernstein. Il fit ses études au Royal College of Music de Londres et obtint, avec distinction, le Premier Prix de Virtuosité du Conservatoire de Musique de Genève, où il est actuellement Professeur adjoint de la classe de Virtuosité.

Il fut quelque temps la clarinette solo de l’Orchestre de Chambre de Lausanne mais choisit ensuite de mener une carrière internationale de soliste. L’étendue et la diversité de son répertoire lui ont permis de se produire avec les quatuors Fine Arts, Allegri, Orlando, Gabrieli, Kocian, Anton, Carmina et Sine Domine. Il a joué aux côtés de solistes confirmés comme Graham Johnson, Catherine Collard, Claude Helfer, Geoffrey Parsons, Alexandre Rabinovitch, Raphael Oleg, Anssi Karttunen, Richard Lester, Ian Brown et Paul Coletti.

En musique contemporaine, Steven Kanoff a participé à la première mondiale de Lied de Berio, en présence de son compositeur, et a interprété le Trio de Jouni Kaipainen.

Steven Kanoff a accompagné de grands orchestres internationaux dont le Los Angeles Philharmonic, l’Orchestre de la Suisse Romande, l’Orchestre de Chambre de Lausanne, le Camerata Lysy, l’English Chamber Orchestra, le Munich Radio Orchestra et le London Mozart Players. Il a joué sous la direction de chefs d’orchestre tels Armin Jordan, Zubin Mehta, Emmanuel Krivine et Tommaso Placidi.

JON KLIBONOFF, pianiste, Prix Pro Musicis International 1986

Jon Klibonoff poursuit une carrière polyvalente de soliste, récitaliste et musicien de chambre aussi bien aux Etats-Unis qu’à l’étranger. Il a remporté, entre autres distinctions, la Médaille d’Argent du Concours International de Piano Gina Bachauer, le Affiliate Artists Xerox Pianists Award, le Prix de la Fondation Pro Musicis, le Premier Prix du Kosciuszko Chopin Competition, et le Solo Recitalists Fellowship du National Endowment for the Arts.

M. Klibonoff fait partie de Trio Solisti, des Carnegie Chamber Players et des Associated Solo Artists. Il a participé à de nombreux ensembles de musique de chambre dont la Chamber Music Society du Lincoln Center, et les quatuors Shanghai Miami et Lark String. Il fut pendant trois saisons l’artiste en résidence de l’émission “On Air” produite par WQXR classical radio à New York City.

M. Klibonoff a donné des récitals au Metropolitan Museum of Art, au Weill Recital Hall de Carnegie Hall, au 92nd Street Y, à la National Gallery, et au Smithsonian Institution à Washington D.C. Il est fréquemment sollicité comme accompagnateur d’instrumentalistes tels la flûtiste Carol Wincenc, le clarinettiste David Shifrin et le violoncelliste Yo-Yo Ma. Il travaille avec de nombreux orchestres dont les Orchestres Symphoniques de Baltimore, d’Utah, de Buffalo, de Denver et de Caroline du Nord.

Il a réalisé plusieurs enregistrements dont, chez BMG/Catalyst, deux disques compacts de musique du vingtième siècle pour piano et violon, en collaboration avec la violoniste Maria Bachmann.

Diplômé de la Juilliard School et de la Manhattan School of Music, M. Klibonoff enseigne à Hunter College et à Concordia College. Il réside à Bronxville, New York, avec sa femme Amy et leurs deux enfants, Madeleine et Noah.

YAZHI GUO, hautbois suona, Prix Pro Musicis International 1998

Yazhi Guo commença à jouer du cor français à l’âge de neuf ans. A quatorze ans, il entra à la Shanxi’s Jinzhong Arts School où il étudia les instruments opératiques à deux cordes, le hautbois suona et la clarinette. En 1986, il entra à la Central Academy of Music où il obtint sa licence en hautbois suona. Il étudia sous les maîtres les plus compétents et experimentés, dont Chen Jiagi, Hu Haiquan, Ren Tongxiang, Wang Gaolin, Liu Bingchen et Hu Zhihou. A la fin de ses études en 1990, il fut invité à rester à la Central Academy of Music et à y enseigner.

Outre le hautbois suona, M. Guo excelle dans le guanzi chinois (bois), le saxophone et autres instruments. Il a enregistré des bandes originales de film (cinéma et télévision) ainsi que plusieurs disques et cassettes.

En 1993, le Ministère de la Culture lui octroya le Class Two Award for Technological Advancement pour son invention de la “anche double”, qui permet au hautbois suona d’émettre des demi-tons. En 1995 il remporta un deuxième Class Two Award au Beijing International Chinese Folk Instrumental Music Competition.

En 1996, M. Guo créa le concerto pour hautbois suona, “Invocation au Vent”, écrit par le compositeur contemporain Qin Wenshen . Les milieux musicaux de Beijing réagirent de manière enthousiaste. People’s Music souligna que “des expressions d’une telle complexité ne peuvent être créées que grâce à la anche du suona et à la technique superbe de l’artiste .”

En 1998, M. Guo, jouant de six instruments à vent chinois, remporta le Prix d’Or du Concours Pro Musicis International de New York (Carnegie Hall) auquel participaient deux cents jeunes musiciens au talent hors pair, originaires de plus de dix pays différents. Le Overseas Chinese Daily aux Etats-Unis souligna que “la prouesse de M. Guo a permis de franchir une étape importante dans l’ouverture du monde à la musique populaire chinoise.”

En juin 1998, le Ministère de la Culture le reconnut comme l’un des musiciens chinois les plus remarquables de sa génération. Lors de la visite du Président Bill Clinton en Chine, il fut invité à jouer du hautbois suona et du saxophone, et gagna l’admiration des deux chefs d’état.

M. Guo s’est rendu en Europe occidentale, au Japon, en Australie, et en Asie du Sud-Est. Il a donné deux récitals solo à New York, Boston et Los Angeles en avril 1999 et janvier 2000.

M. Guo est le premier hautbois suona du Hong Kong Chinese Orchestra ainsi que le Secrétaire Général Adjoint du Folk Music Research Society sous les auspices de l’Association des Musiciens Chinois.

Yura Lee, violon, Prix Pro Musicis International 2006

Yura Lee est née en République de Corée en 1985. Elle commence ses études de violon à 4 ans et dès 5 ans son extraordinaire talent est reconnu par le Premier Prix du Concours Hankook Ilbo à Séoul.

A 7 ans elle débute avec l’orchestre de Corée, le KBS Symphony, dans le Concerto No. 1 pour Violon de Bruch. Elle s’installe aux USA en 1994, étudie à la Juilliard School of Music de 1994 à 2001, et elle poursuit une carrière exceptionnelle. Dès 1997 elle reçoit le Prix du « Jeune Talent de l’Année », de la chaîne nationale américaine « National Public Radio ». La saison 1999-2000 verra ses débuts au Carnegie Hall avec Leonard Slatkin, et à Washington avec le National Symphony Orchestra.

Dès la saison 2002-03, elle est parrainée par le Carnegie Hall pour ses séries de promotion européenne ECHO (European Concert Hall Organization), avec des récitals au Wigmore Hall de Londres, au Symphony Hall de Birmingham, au Musikverein de Vienne, au Mozarteum de Salzburg, au Palais des Beaux-Arts à Bruxelles, au Concertgebouw d’ Amsterdam, au Stockholm Konserthus, et enfin au Philharmonie de Cologne. La même saison elle se produit également à Tokyo avec le Tokyo Philharmonic Orchestra dirigé par Mikhail Pletnev; ainsi qu’à Séoul avec le Korean Symphony dirigé par Myung-Whun Chung.

En 2003 elle joue en solo avec le Philharmonique de New York dirigé par Lorin Maazel, et avec le Chicago Symphony et Christophe Eschenbach au Festival de Ravinia. Elle a joué en soliste avec maints orchestres prestigieux, tels le Philharmonique de New York, le Baltimore Symphony, le Cleveland Orchestra, le Detroit Symphony, le Houston Symphony, le Saint Louis Symphony, le Minnesota Orchestra, le San Francisco Symphony, le Hong Kong Philharmonic, le Tokyo Philharmonic et le Philharmonique de Monte Carlo, etc. Yura Lee s’est produite également au Festival de Verbier en 2000 et 2001, en récital avec le pianiste Roger Vignoles ou en musique de chambre avec Emmanuel Ax, Frans Helmerson, Joseph Silverstein et bien d’autres.

Notons enfin que Yura Lee s’est produite au cours de nombreuses émissions télévisées, dont celle de David Letterman sur CNN, ou de ZDF Arte en Allemagne, etc. En 2006, à 21 ans à peine lors du Concours Léopold Mozart, qui n’a lieu que tous les 4 ans, Yura Lee a obtenu les plus hautes récompenses: Premier Prix, Médaille Mozart, Prix du Public, et Prix du Jury des Jeunes Musiciens.

Yura Lee se produira à Paris pour la première fois le 12 mars 2008 à 20 h à la Salle Cortot, avec sa partenaire la pianiste Dina Vainshtein.

CLARA NOVAKOVA, flûte, Prix International Pro Musicis 1995

Clara Novakova est née à Brno en République Tchèque. Elle a étudié la flûte en Italie (Riva del Garda), à la Hochschule für Musik de Stuttgart en Allemagne et au Conservatoire National Supérieur de Paris dans la classe de Michel Debost, où elle termine brillamment ses études avec plusieurs premiers prix en 1988.

A cette époque, elle est déjà flûte-solo à l’Ensemble Orchestral de Paris, titre qu’elle gardera jusqu’en 2006. Parallèlement, elle mène aussi une carriére de soliste et de chambriste avec plusieurs ensembles français. Lauréate de plusieurs Prix Internationaux (Concours de Ancona, de Palmi, de Stresa, Prix Rotary Club Stuttgart, Prix Pro Musicis…),

Clara Novakova se produit en Europe, Amérique et Asie et enregistre pour de nombreuses Radios et Télévisions, ainsi que pour des labels (EMI, MODE New York, Maguelone, Universal, Premiers Horizons Paris, Gallo Switzerland, LH Productions Praha etc.).

Elle collabore aussi avec de nombreux compositeurs et assure régulièrement des créations d’oeuvres qui lui sont dédiées. Elle vit actuellement à Paris et à Valencia en Espagne.

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